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Musicopolis
By Radio France
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Musicopolis explore chaque jour une oeuvre différente (sa genèse, sa création), dans son contexte géographique et historique.
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Musicopolis des compositrices 19/22 : Jennifer Higdon, prix Pulitzer
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Musicopolis
durée : 00:25:17 - Jennifer Higdon, prix Pulitzer - par : Anne-Charlotte Rémond - En 2009, Jennifer Higdon remporte le Prix Pulitzer pour son Concerto pour violon, récompense suprême pour les compositeurs contemporains. A côté de cette pièce écrite pour, et dédiée à Hilary Hahn, explorons l'oeuvre d'une des plus éminentes compositrices d'aujourd'hui - réalisé par : Philippe Petit
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25:17
Un Américain à Paris : Quincy Jones entre Barclay et Boulanger
Episode in
Musicopolis
durée : 00:25:11 - Un Américain à Paris, Quincy Jones entre Barclay et Boulanger - par : Anne-Charlotte Rémond - Dans cet épisode de Musicopolis, Anne-Charlotte Rémond revient sur la vie et l'œuvre du trompettiste, arrangeur et compositeur américain, Quincy Jones ! - réalisé par : Adrien Landivier
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25:11
1939, Erich Wolfgang Korngold : Création de la bande originale du film Les Aventures de Robin des Bois
Episode in
Musicopolis
durée : 00:25:00 - Eric Wolfgang Korngold, BOF "Les Aventures de Robin des bois" - par : Anne-Charlotte Rémond - Direction Hollywood ! Anne-Charlotte Rémond vous raconte l'histoire de la musique du film Les Aventures de Robin des Bois, signée Erich Wolfgang Korngold. - réalisé par : Claire Lagarde
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25:00
1933, Chicago : Création de la Symphonie n°1 de Florence Price
Episode in
Musicopolis
durée : 00:25:08 - Florence Price, Symphonie n°1 - par : Anne-Charlotte Rémond - L'oeuvre, créée le 15 juin 1933 par l'Orchestre Symphonique de Chicago, est la première symphonie composée par une femme africaine-américaine. - réalisé par : Philippe Petit
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25:08
1883, fondation du Metropolitan Opera de New York
Episode in
Musicopolis
durée : 00:25:04 - Fondation du MET de New York - par : Anne-Charlotte Rémond - Créé par des américains "nouveaux riches" frustrés de se voir refuser l'entrée à l'Academy of Music, réservé aux vieilles familles nobles, le Metropolitan Opera de New York ouvre ses portes en 1883. - réalisé par : Philippe Petit
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25:03
Le festival Mozart de Salzbourg, une création attendue
Episode in
Musicopolis
durée : 00:25:18 - Le festival de Salzbourg, une création attendue - par : Anne-Charlotte Rémond - Nous sommes en août 1922. Du 13 au 29, se déroule à Salzbourg "un grand festival Mozart". Cet évènement est conçu comme la première manifestation d'un vaste mouvement en faveur du compositeur natif de la ville. Musicopolis vous invite à prendre place pour la première édition de ce festival majeur ! - réalisé par : Philippe Petit
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25:18
L'essor musical de Moscou au tournant du XXe siècle
Episode in
Musicopolis
durée : 00:24:54 - Un voyage à Moscou au tournant du XXe siècle - par : Anne-Charlotte Rémond - A la fin du 19e siècle, Moscou est en ébullition. On y entend la musique occidentale de la première moitié du siècle, Beethoven, Mendelssohn, Schumann, et de plus en plus, grâce à Nikolai Rubinstein, celle de la Nouvelle Ecole Russe avec Taneiev, Arensky, ou… Rachmaninov ! - réalisé par : Philippe Petit
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24:54
Le voyage à Bayreuth
Episode in
Musicopolis
durée : 00:25:09 - Le voyage à Bayreuth (des musiciens français) - Dans cet épisode de Musicopolis, Anne-Charlotte Rémond revient sur les années 1870-1890 au festival de Bayreuth. Il semble que les Français y sont les spectateurs les plus nombreux et ce sont ces derniers qui font le voyage avec le plus de ferveur...
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25:09
Berlin, 1898 : une fin de siècle animée !
Episode in
Musicopolis
durée : 00:25:07 - Berlin 1898, fin de siècle animée - par : Anne-Charlotte Rémond - Quelle chance pour les mélomanes de vivre à Berlin en 1898. Musicopolis vous invite à une promenade sur les Linden en compagnie du directeur de l'Opéra, Richard Strauss, à la rencontre de quelques berlinois célèbres tels que Felix Weingartner, Ferucio Busoni, Arthur Nikisch ou encore Max Bruch ! - réalisé par : Philippe Petit
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25:07
La musique baroque - Anthologie 11/20 : 1725, Antonio Vivaldi publie son Concerto en fa mineur op.8 n°4 :...
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Musicopolis
durée : 00:24:56 - Antonio Vivaldi, Concerto n°4 en fa mineur op.8 " L'Hiver " - par : Anne-Charlotte Rémond - Tout le monde, ou presque, connaît les concertos des ''Quatre saisons'' de Vivaldi, mais que savons-nous des circonstances de leur composition ? Dans Musicopolis, Anne-Charlotte Rémond mène l’enquête sur la piste de ''L’Hiver''… - réalisé par : Claire Lagarde
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24:56
1904, Pauline Viardot compose ''Cendrillon''
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durée : 00:25:09 - Pauline Viardot, Cendrillon - par : Anne-Charlotte Rémond - Pauline Viardot a 83 ans en 1904 lorsqu’elle compose ''Cendrillon'', un opéra-comique miniature d’après le conte de Charles Perrault. Anne-Charlotte Rémond vous invite aujourd’hui à suivre la célèbre chanteuse et compositrice dans les salons parisiens de Mathilde de Nogueiras où l’œuvre fut créée. - réalisé par : Claire Lagarde
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25:09
Ces dames mécènes 4/4 : Misia Sert
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durée : 00:25:08 - Ces dames mécènes : 4. Misia Sert - par : Anne-Charlotte Rémond - Dans cet épisode de Musicopolis, Anne-Charlotte Rémond revient sur la vie d'une grande mécène au parcours international, Misia Sert. - réalisé par : Philippe Petit
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25:08
Ces dames mécènes 3/4 : La Princesse de Polignac
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durée : 00:25:10 - Ces dames mécènes : 3. La Princesse de Polignac - par : Anne-Charlotte Rémond - Dans cet épisode de Musicopolis, Anne-Charlotte Rémond revient sur la vie d'une grande mécène et amie de Marcel Proust, La Princesse de Polignac ! - réalisé par : Philippe Petit
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25:10
Ces dames mécènes 2/4 : La Comtesse Greffulhe
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durée : 00:25:21 - Ces dames mécènes : 2. La Comtesse Greffulhe - par : Anne-Charlotte Rémond - Dans cet épisode de Musicopolis, Anne-Charlotte Rémond revient sur la vie d'une autre mécène, La Comtesse de Greffulhe... - réalisé par : Philippe Petit
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Ces dames mécènes 1/4 : Mme de Saint Marceaux
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durée : 00:25:14 - Ces dames mécènes : 1. Mme de Saint-Marceaux - par : Anne-Charlotte Rémond - Dans cet épisode de Musicopolis, Anne-Charlotte Rémond revient sur la vie de l'incroyable mécène parisienne, Madame de Saint Marceaux. - réalisé par : Philippe Petit
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Georges Bizet à Paris en 1875 (5/5) : La première de Carmen
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Musicopolis
durée : 00:25:07 - Georges Bizet à Paris en 1875 (5/5) - par : Anne-Charlotte Rémond - Carmen, ne connaîtra pas le succès tout de suite et provoquera très certainement le décès prématuré de son auteur. Il aura été porté par une chanteuse exigeante, une mise en scène novatrice et un personnage principal allant à l'encontre des mœurs de l'époque. - réalisé par : Béatrice Trichet
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25:07
Georges Bizet à Paris en 1875 (4/5) : La création de la Société Nationale de Musique
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Musicopolis
durée : 00:25:07 - Musicopolis - par : Anne-Charlotte Rémond - Ce quatrième épisode de la série dédiée à Georges Bizet expose la situation à Paris après la guerre et la Commune. La construction de la basilique du Sacré-cœur en tant que "Voeu National", et la création de la Société Nationale de Musique pour porter les jeunes compositeurs. - réalisé par : Philippe Petit
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25:07
Georges Bizet à Paris en 1875 (3/5) : "Les pêcheurs de perles" et l'insatisfaction de Bizet
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durée : 00:25:07 - Musicopolis - par : Anne-Charlotte Rémond - Ce troisième épisode de la série consacrée à Georges Bizet nous expose le ressenti du compositeur face aux critiques de ses œuvres et dans quel contexte il a rejoint la Garde Nationale. - réalisé par : Philippe Petit
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25:07
Georges Bizet à Paris en 1875 (2/5) : Ses rencontres avec Gounod et Offenbach
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durée : 00:25:07 - Musicopolis - par : Anne-Charlotte Rémond - Ce second épisode de la série consacrée à Georges Bizet nous donne un aperçu de son passage au Conservatoire, alors sous la direction de Daniel-François-Esprit Auber. Cette opportunité lui permet de se créer un réseau dans ce milieu très fermé. - réalisé par : Philippe Petit
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Georges Bizet à Paris en 1875 (1/5) : L'inauguration de l'Opéra Garnier
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durée : 00:25:07 - Georges Bizet à Paris en 1875 (1/5) : L'inauguration de l'Opéra Garnier - par : Anne-Charlotte Rémond - Ce premier épisode de la série consacrée à Georges Bizet relate le contexte de création de son œuvre Carmen. Autour d'un Opéra Garnier qui tarde à finir de se construire, sa pièce recevra un accueil mitigé. - réalisé par : Béatrice Trichet
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Pioneros: The Beatles.Toda su historia
Pioneros, fue un programa de radio 3 bajo el magistral mando de Xavier Moreno, nos deleitó con una serie de monograficos muy exhaustivos dedicada a grandes grupos, entre los que estaban Jimmy Hendrix, Rollins Stones, The Beatles, The Beach Boys, en fin, lo mejor de lo mejor y gracias a estos audios podemos rememorar aquel gran programa que merece la pena y os animo a que disfrutéis de las dramatizaciones a cargo de Carlos Pina.
Los Beatles… Es casi imposible pensar en los psicodélicos sesenta y setenta sin pensar en hippies, flores, paz, sexo libre, droga y por supuesto los Beatles, sin ellos, nada de lo anterior hubiera existido.
Cuatro jóvenes ingleses que con su música movían multitudes, imponían modas, hacían llorar a miles de fans.
Tal ha sido su influencia que incluso hoy, nosotras al pensar hacer este trabajo, los elegimos a ellos.
Con esta investigación queremos conocer más en el fondo la historia de este grupo, sus vivencias personales, sus historias, la mentira y la verdad sobre sus vidas.
1. los comienzos
En Liverpool en, 1956 se conocieron Paul McCartney y John Lennon por primera vez. Paul era dos años menor que John pero se integró rápidamente al grupo pues tenía una gran destreza con la guitarra. Poco tiempo después Paul convenció a John de que entrara al grupo un amigo suyo, George Harrison, quien manejaba la guitarra solista mejor que nadie.
El grupo que formaron se llamaba "The Quarrymen" y hacían pequeñas actuaciones en Iglesias y colegios a cambio de poco dinero y mucha bebida.
Fue en una de estas actuaciones en las que John conocería a su primera esposa, Cynthia Powell, una compañera de colegio que al verlo transformarse sobre el escenario se propuso conquistarlo.
John tenía un amigo, Stuart Sutcliffe, que era un excelente pintor. Él ganó 50 libras en un concurso y John lo convenció de que se comprara un bajo y se integrara al grupo. Como no sabía tocar el instrumento, Paul lo molestaba mucho pues é quería que el grupo fuera "profesional".
El grupo, con su nueva batería Pete Best, cambió su nombre por el de "Silver Beatles" que al final sólo terminó en "Beatles". Consiguieron un contratopor tres meses para viajar a Hamburgo. Esta experiencia hizo perfeccionar su estilo, pues llegaban a tocar ocho horas seguidas soportando las peleas de los borrachos que frecuentaban los lugares en que tocaban. En una de esas peleas, Stuart recibió un fuerte golpe en la cabeza el que, dos años más tarde, sería la causa de su muerte por un derrame cerebral.
Viajaron tres veces a Alemania a perfeccionar su estilo. Allí tuvieron la oportunidad de darse a conocer, tocando como músicos acompañantes de Tory Sheridam, una estripticista.
Cuando volvieron a Liverpool como músicos profesionales fueron solicitados por el mejor club local, "The Cavern", un lugar pequeño y húmedo y lleno de humo donde iban los jóvenes de la ciudad. Allí fue donde Brian Epstein, dueño de una tienda de discos, se ofreció como representante, cosa que los Beatles aceptaron.
Su nuevo manager les buscó en vano un contrato de grabación. Después de muchos intentos consiguió una audición para un futuro contrato, donde entonaron temas como "Three Cool Cats" y "Bésame Mucho" pero fueron rechazados.
Por fin consiguieron un pre-contrato con la casa discográfica EMI. George Martin, productor del sello, accedió a oírles… y también le gustó. Sólo puso la condición de que cambiaran al baterista, así, con la ayuda de Brian, consiguieron a Richard Starkey (nombre que se cambiaría luego por el de Ringo Starr), un joven muy talentoso de la ciudad.
Grabaron "Love me do" y "P.D., I love You" las cuales llegaron al puesto 17 de la lista de ventas. Los Beatles estaban satisfechos.
Poco después llegaría el número 1 con "Please, Please Me". Los admiradores crecían. Los Beatles dieron su última actuación en "The Cavern".
El LP "Please, Please Me" (1963) fue grabado en una sola sesión de 12 horas finalizando con "Twist and Shout" y la desgarrada voz de John
2. Beatlemanía
El éxito de "Please, Please Me" les dio un éxito total en Gran Bretaña y a fines de 1963, dieron un concierto en el London Palladium ante la Familia Real Británica. Fue en este concierto en el que John dijo su famosa frase: "En esta próxima canción quiero que me acompañen todos. Los de los asientos más baratos que aplaudan, los demás, basta que muevan sus joyas" . Ésta fue su primera manifestación contra la realeza.
Después siguió el álbum "Whit The Beatles" que incluía canciones como "All my loving" (todo mi cariño) y "It won’t be long".
En diciembre de 1963, 5 sencillos estaban en los 20 Principales y sus 2 álbumes ocupaban los 2 primeros puestos de los rankins.
Fuesen donde fuesen, eran acosados por masas de fans y así todavía no causaban furor en Estados Unidos. Por esta razón comenzaron a ser difundidos por las radio estadounidenses y en poco tiempo el sencillo "Y Went to Hold you Hand" alcanzó el primer puesto de los rankins. Al saber de este nuevo éxito realizaron una gira por ese país. Actuaron en "El show de Ed Sullivan" donde alcanzaron la mayor audiencia da la historia de la TV (73 millones de Americanos vieron actuar a los Beatles). También ofrecieron conciertos en Washington, Miami y en Carnigie Hall de Nueva York. Desgraciadamente, por culpa de los gritos y chillidos de las fans, la música era casi inaudible, muy difícil de escuchar.
El resto del año lo pasaron viajando. Durante uno de esos viajes Ringo tuvo que ser reemplazado por Jimmy Nicol ya que tuvieron que extirparle las amígdalas. El peso de tantos conciertos y las presiones de los fans hizo que su siguiente LP, Beatle for Sale, sólo tuviera 8 canciones originales pues no tenían más tiempo para componer otras. El resto del LP se completó con otras canciones que solían tocar en el Cavern.
En este disco se puede ver el cambio de las letras; antes eran todas de amor chico - chica, ahora, después de que Bob Dylan los indujera en el mundo de la marihuana, los Beatles (sobre todo a John) comenzaron a componer canciones más serias como "I´m a Laser" , con nuevas armonías y experimentaron en el estudio con su nuevo Four-track (grabadora de 4 pistas). Quizá este disco sea el más flojo del grupo, pero tiene canciones interesantes.
3. Estrellas de cine
El año ’64 fue muy importante para los Beatles. Ya no reinaban sólo en lo musical sino que, cualquier cosa que hicieran, era considerado una genialidad.
La primera gira mundial del grupo terminó por convencer a todos: arrasaron con públicos tan diferentes como de Escandinavia, Australia, Hong Kong.
Acosados por las fans, los conciertos, los aristas no alcanzaban a reponerse entre una y otra actuación. Gran cantidad de whisky y fármacos los mantenían alerta.
Su siguiente campo fue el cine. Su primera película fue "A hard day Night". Rodada en Blanco y Negro por Richard Lester incluía las canciones de la cara A del LP del mismo título.
La película fue un éxito. Consiguió 2 Oscar como Mejor Guión y Mejor Banda Sonora. Ella describe con tono de humor la vida de los Beatles: conciertos, su agitada vida, sus opiniones, etc. Sin duda fue la mejor película de los Beatles.
El álbum no fue menos brillante ya que todas las canciones eran originales "Lennon - McCartney" y tienen maravillas como el fantástico dueto entre John y Paul en "It I Feel" , la rockanrolera "A hards days Night", la balada acústica "I’ll be back"…en fin, uno de los mejores LP’s del conjunto británico.
Para los Beatles hacer cine fue más que una diversión. John pudo comprarle una casa a su tía que lo había criado (ver su biografía), George conoció a su futura esposa y Paul sintió la inspiración de escribir "Yesterday", la canción más grabada de la historia, con 2500 versiones diferentes.
4. Apogeo, fans y Giras
A fines de 1964 el sencillo "Y feel fine" volvió a emocionar a los seguidores del grupo.
El "riff" con el que se inicia la canción fue inventado por John, y es el resultado de muchos experimentos musicales que hizo el grupo en Abbey Road.
En 1965 los Beatles decidieron hacer otra película, ahora a color. Se llamó "Help" y su director fue el mismo que "A hards days Night", también contenía las canciones de la cara A de su respectivo LP. Esta película fue como una parodia a las películas James Bond, rodaron en tan exóticos escenarios como las Bahamas o las pistas de esquí de Austria.
El LP "Help" es de lo mejor que sacó el grupo, y la canción "Help" es sin duda, de las preferidas.
Ese mismo año actuaron en el Shea Stadium, un campo de béisbol donde pudieron ser admirados por unas 60.000 personas.
También en 1965 recibieron de la reina Isabel la condecoración "Members of the British Empire", que se otorgaba generalmente a militares. Esto hizo que muchos de los que habían recibido este galardón lo devolvieran como protesta. John declaró: "Ganamos esto por entretener, no por matar personas, de manera que nos la merecemos con creces"
A fines de ese año se dedicaron a grabar su siguiente álbum, "Rubber Soul", tal vez el mejor de su carrera. Con la influencia de la marihuana canciones como "The Word", "Nowhere Man", "In my Life" maravillaron al mundo, que se pudo dar cuenta del contenido cada vez más filosófico de las canciones.
Fue tal la locura que alcanzaron las giras del grupo, que incluso tuvieron que soportar a una gran cantidad de filipinos, en su gira por ese país, que querían "arrollarlos" pues la esposa del presidente, Imelda Marcos" se encargó de poner a su país en contra de ellos por negarse a visitarla ya que estaban descansando.
5. pisando en el vacío
El manager del grupo, Brian Epstein, programó la segunda gira mundial del grupo, que pasaría por Francia, Italia, España, Estados Unidos. Durante esta gira pudieron conocer a Elvis Presley. Se podría decir que esta gira fue un éxito, mas fue algo desilusionaste para el grupo pues el griterío de las fans que no se daban cuenta cuando ellos cantaban o simplemente movían los labios, sin hacer ningún ruido.
Al terminar la gira, George se casó con la modelo Patty Boyd. Ya sólo Paul se mantenía soltero.
La próxima gira fue una pesadilla, pues tenían el problema de cómo pasar grandes cantidades de drogas por las aduanas y peor aún, la difusión, poco antes de llegar a EE.UU., de una entrevista a John en la que declaraba: "El Cristianismo desaparecerá. No es necesario que yo lo demuestre. Nosotros somos más populares que Cristo. Aunque Él fuera una gran persona, sus discípulos lo echaron todo a perder…"
El repudio fue general: la prensa, público y feligreses que los admiraban, se pronunciaron contra las opiniones de Lennon. Así, el Beatle, en unaconferencia de prensa tuvo que reconocer que su comentario había sido equivocado y que nunca había tenido el significado que se le quiso dar.
Fue tanta la molestia que les dejó este viaje que decidieron tomar 4 meses de vacaciones. Durante ellos Paul vivió en el campo, George y su esposa viajaron a la India y Ringo se dedicó a la vida nocturna. Sólo John se sentía abandonado. "Vivir sin Los Beatles es como pisar el vacío", decía y pasaba los días refugiado en la marihuana. En estos 4 le fue ofrecido participar del elenco de la película "Como gané la guerra". Durante el rodaje se rapó y cambió los lentes de contacto por unos anteojos redondos, con armazón de alambre, los que lo caracterizarían para el resto de su vida.
Ya al volver a juntarse, la marihuana era sólo un recuerdo para ellos, ahora usaban drogas más fuertes como el LSD. Producto de ellas fueron creando canciones cada vez más excéntricas, tal como lo eran sus "vuelos" y visiones. Nuevas armonías, letras profundas y mensajes no muy claros para el público que no sabía lo que estaba pasando.
"Rubber Soul" y "Revolver" fueron grabados en esa época usando técnicas novedosas. Agrupaban canciones tan importantes como "Michelle", "Rain", "Yellow Submarine", "For no One", "Taxman" (escrita por George), "Eleanor Rigby" (un descarnado retrato de las personas solitarias, escrita por Paul), "Tomorrow Never Knows" y "In my Life" (una sincera introspección que desnuda el alma de Lennon). Estas canciones marcaban el comienzo de la era psicodélica del grupo que culminaría con "Sgt. Pepper’s Lonely Hearts Club Band", grabado en sólo 4 meses y definido como el mejor resumen de los psicodélicos sesenta. En todas estas canciones, la influencia del LSD, se hacía notar ya que todos, salvo Paul, lo consumían con frecuencia.
En busca de respuestas el grupo viajó a la India, detrás del santón Maharishi Magesh Yogui, con el que siguieron un curso de meditación que les obligaba a dejar las drogas.
Aunque este personaje no les brindó las respuestas que esperaban, fue en la India donde compusieron a lo menos 30 de sus mejores canciones. A regreso se enteraron que Brian Epstein había muerto completamente intoxicado.
6. el principio del fin
Todos los que rodeaban a los Beatles parecían ser parte de ellos, salvo Cynthia, la esposa de John, muy distinta a él (nunca había fumado ni tomadoalcohol), cada día las diferencias se hacían más notorias entre ellos. Por esta razón es fácil entender como John pudo involucrarse con Yoko Ono, una extraña japonesa que conoció en una galería de arte.
En poco más de un año, John y Yoko eran amantes por lo que Cynthia decidió irse de la casa al encontrar a la japonesa metida en su propio hogar.
La entrada de Yoko a la vida de Lennon fue una gran molestia para el resto del grupo pues ella estaba siempre con John.
Tampoco los intereses del resto parecieron ser los mismos. George, por ejemplo decidió dejar para siempre los psicodélicos y Paul se vio cada vez más involucrado en proyectos musicales.
Después de la muerte de Brian, Paul pensó que podría tomar las riendas del grupo y los involucró en un proyecto llamado "Magical Mistery Tour" compuesto de una película y un longplay. Al comienzo la idea fue aceptada, pero el video fue catalogado de un "asco" y sólo lo musical les reportó aplausos y muchos dólares.
En esta época terminó también el romance que mantenía hace 5 años Paul y la actriz Jane Asher. Entonces decidió viajar a EE.UU. por razones denegocios. Allí se encontró con Linda Eastman, una aprendiz de fotógrafa que había conocido en un viaje anterior. Luego de este viaje intentó volver con Jane pero ella jamás aceptó una reconciliación. Paul llamó a Linda a los Estados Unidos para invitarla a conocer su casa de Londres, de la cual, una vez allí, nunca más se marcharía.
John y Yoko por su parte se habían sumergido en el mundo de las drogas fuertes, al punto de que la policía inglesa llegó a arrestarlos. Este escándalo, junto con el lanzamiento de su primer disco en pareja que tenía como carátula una foto de ellos donde se mostraban completamente desnudos, hizo que se acentuaran aún más las diferencias del grupo, las que ya nadie podría resolver.
A comienzos de 1969 Paul intentó juntar nuevamente a los Beatles con la grabación de un nuevo disco que se llamaría "Get Back!" (¡vuelve!) y que debería ser una forma de volver a sus raíces. Pero los demás no estaban de acuerdo. La idea de una gira fue desechada acordando realizar un concierto al final de la grabación, la que daría origen más tarde a un documental.
Este concierto se realizó en la azotea del edificio Apple, en Savile Row 3. Abajo se congregó una gran cantidad de gente ante tan inusual espectáculo.
Luego de esto, Paul se hizo asesorar financiera y legalmente por su suegro y cuñado, ahora que se había casado con Linda. El resto del grupo no aceptó que ellos se inmiscuyeran en los asuntos del grupo así que los problemas entre ellos aumentaron.
7. caminos separados
John por fin pudo casarse con Yoko e iniciaron las "Ocupaciones de Cama", originales formas de protesta contra todo lo que les parecía injusto. Ahora, el LSD ya no los calmaba y empezaron a experimentar con drogas todavía más fuertes como el hachís. Ni él, ni Yoko podían abandonar este vicio, aunque se sometieron a terapias, volvían a caer.
Esta es la época en que John graba su primer disco como solista: el John Lennon/Plastic Ono Band, un disco autobiográfico.
Gracias a su nuevo representante, Allen Kein, el nuevo disco "Abbey Road", considerado la obra maestra del grupo, pudo vender más de 5 millones de copias en un año.
Pero Paul no se convenció de este representante así que se retiró a vivir en el campo junto a su familia. Allí, como réplica al trabajo de Lennon, grabó su primer disco como solista.
En ese momento también fue el lanzamiento de la película documental de su último trabajo, cuyo título "Get Back" fue cambiado por "Let it be". Además se pusieron a la venta el LP de Paul y un trabajo de Ringo como solista.
Ninguno de los Beatles fue al cine el día del estreno de "Let it Be" Ese mismo día George comenzó a grabar su primer álbum como solista titulado irónicamente "Al final, todo termina", el que recibió muy buenas críticas.
8. el punto final
Como el resto de los Beatles se negara a disolver Apple (la empresa que habían creado), Paul decidió demandar a sus amigos, ya ningún arreglo sería posible.
Cada uno siguió con su vida: Paul viviendo con Linda, que a la larga, resultó ser la mujer ideal para él.
Ringo se divorció de Maureen, sospechando que le había sido infiel ¡con George! Y por lo mismo terminó el matrimonio de George y Patty Boyd, quien se convirtió en la mujer del guitarrista Eric Clapton.
Por años John luchó por encontrar sus "respuestas". Viviendo en una simbiosis con Yoko, a los pocos años el hastío y la diaria locura hizo que ella decidiera separarse del hombre que igualmente amaba. John estaba desolado y para volver ella "sólo" le exigía que no probara nunca más una droga.
Después de un año Yoko aceptó volver a vivir con John. Desde ahí la vida le cambió. John se dedicó a vivir sencillamente, tuvieron un hijo llamado Sean y la familia se consolidó.
Después de cumplir cuarenta años, John decidió volver a la música. Un día antes de morir John Winston Lennon daría su última entrevista. Allí dijo:
"Hablo a la gente que ha pasado por lo mismo que hemos pasado nosotros, los grupos de los sesenta que han sobrevivido a la guerra…, a las drogas, a la política, a la violencia en las calles, a todo ese despelote. A ellos es a quienes yo hablo. Lo que nos mostraron los sesenta fueron las posibilidades que había y la responsabilidad que teníamos todos. Aquello no era una respuesta, sino una visión de las posibilidades que teníamos. Y en los sesenta todo resultó mal. Posiblemente en los ochenta todos diremos: proyectemos el lado positivo de la vida."
¿Cómo?
- Lo único que pido es que se dé una oportunidad a la paz. Y no es que yo tenga una respuesta o proponga una nueva organización para la sociedad, porque eso no es cierto ni creo que nadie la tenga. Si hay alguien, ¡que me muestre el plan!
¿No tiene usted intención de volver a presentarse como una estrella masculina de rock?
- Ya he pasado por la ilusión infantil de ser un "Elvis" y hacer lo que me gustaba y sobresalir en el mundo del espectáculo. Quiero estar con mi mejor amigo… y mi mejor amigo es mi mujer. ¿Quién puede pedir más?
¿Qué dijo la gente cuando usted se relacionó con Yoko y con el tipo de arte que ella creaba?
- La gente decía: "Esa bruja japonesa lo está volviendo loco". Pero lo único que ella hizo fue sacar de mi interior esa parte fantástica, que hasta entonces yo había tenido inhibida.
¿Necesita usted a Yoko?
- Muchísimo. No podría sobrevivir sin ella, ni seguir funcionando como ser humano. Cuando nos separamos, por un tiempo, me hice pedazos…, no podía sobrevivir sin ella… Me siento como un chiquillo al pensar que me quedan tantos años por delante con Yoko y nuestro hijo… O al menos, eso es lo que espero.
¿Piensa en la muerte?
- Espero morir antes que Yoko, porque si ella muriese yo no sabría cómo sobrevivir. No podría seguir adelante.
Horas más tarde el cuerpo ensangrentado de John sería llevado al hospital Roosevelt, allí trataron de revivirlo pero todo fue inútil. Cuatro tiros disparados por Mark David Chapman, de 25 años, terminaron con la vida del ex-líder de los Beatles.
La historia había terminado.
Conclusión
Los Beatles fueron y seguirán siendo un gran fenómeno, y no sólo musical. Eso lo descubrimos al hacer este trabajo.
También nos dimos cuenta de toda la historia que hay detrás, el esfuerzo y los desvíos, los que a veces, simplemente, pasamos por alto. Gracias a este trabajo conocimos sus inicios, lo duro que les fue hacerse un lugar dentro de la música y lo difícil que es olvidarlos.
Podríamos decir que los Beatles se acabaron cuando John conoció a Yoko, lo cual de algún modo es cierto, pero la verdad es que en esta afirmación existe algo mucho más profundo. El buscar su propia personalidad, las drogas, lo exigentes que podemos llegar a ser nosotros como fans, en fin, todo un proceso que gracias a esta investigación llegamos a conocer un tanto mejor.
Por último, quisiéramos expresar que siempre van a estar en nuestras mentes y corazones canciones como "Let it Be" o "Yesterday", que creemos, hasta nuestros nietos van a llegar a conocer, porque el fenómeno Beatle no morirá tan fácilmente.
Como todo el mundo sabe, la historia de The Beatles comienza en Liverpool, una ciudad portuaria e industrial del centro de Londres, con un intenso tráfico marítimo hacia los puertos estadounidenses y europeos.
John Lennon y Richard Starkey (Ringo Starr) nacieron en 1940, Paul McCartney en 1942 y George Harrison en 1943. La vida de todos ellos fue la de chicos de barrio de clase media baja. La infancia más turbulenta fue la de Lennon, cuyo padre abandonó a su madre quien, a su vez, murió atropellada por un policía borracho. Por el contrario (como casi siempre) el papel opuesto lo tuvo McCartney, que nació en una familia más "normal" en la que recibió sus primeras nociones de música.
Los inicios de The Beatles arrancan desde las primeras fiestas estudiantiles y actuaciones en salones parroquiales y ceremonias familiares con distintas formaciones y nombres como The Quarrymen. El grupo se profesionaliza cuando embarcan hacia Hamburgo John, Paul y George (los tres con guitarras) más Stuart Stuclife al bajo y Pete Best a la batería. Es en Hamburgo donde realmente se pule el grupo en noches interminables tocando a todo volumen en bares de mala muerte.
De vuelta a Liverpool (en Hamburgo se dejaron a Stuclife) comienzan a tocar regularmente en The cavern un pub de baile con música en vivo a diario. Este pub, hoy demolido, es el verdadero punto de arranque de la leyenda. En una de estas actuaciones son vistos por Brian Epstein, un comerciante que dirigía una tienda de discos, quien les consigue una sesión con George Martin, un productor de la EMI dedicado a buscar nuevos talentos. En las audiciones, Martin decidió que no le gustaba cómo tocaba Pete Best y el resto del grupo decidió darle esquinazo con tal de grabar el disco y metieron a Ringo Starr. En septiembre de 1962 se graba Love me do que obtiene un aceptable éxito y llega al Top20 de singles, lo que les abre el camino para iniciar una exitosa gira nacional. Ya en 1963, Please, please me llega al número uno en Inglaterra y la fama de The Beatles empieza a crecer desmesuradamente.
A mediados de 1963 sale su primer LP Please, please me que tiene un éxito arrollador y a partir de aquí inician una carreara imparable de éxitos. Con la gira por los Estados Unidos, su fama ya se hace mundial y alcanzan el máximo reconocimiento cuando la reina de Inglaterra les nombra caballeros del Imperio (entre las protestas de otras viejas glorias) y cuando son elegidos para inaugurar con All you need is love el primer canal internacional de televisión.
Sin embargo, agotados por las giras, las presentaciones, las intervenciones públicas, los homenajes, etc., The Beatles abandonan los conciertos en vivo a partir de 1966 (sus canciones también se habían hecho demasiado comlejas para ser interpretadas en directo) y se dedican a hacer discos.
A partir de 1968, las relaciones entre Lennon y McCartney empiezan a tensarse. No creo que se deba sólo a la aparición de Yoko Ono o a las pretensiones empresariales de McCartney y su entorno; seguramente sería todo eso y muchas más cosas y, fundamentalmente, al hecho de que además de ser unos genios, tendrían que haber sido unas personas perfectas para aguantarse quince años sin pelearse, siendo tan distintos como eran. Desde 1969, el grupo deja de existir como tal. Se graba la película/documental Let it be y mientras se realiza el proceso de producción y montaje del LP y de la película, graban un último disco, Abbey roaden el que recogen sus últimas canciones, temas inacabados y una especie de mix de restos. Esto es lo último que hacen. Cuando salen el disco y la película Let it be en 1970, el gupo ya no existe.
El grupo, por otra parte, nunca se volvió a reunir ni lo volverá a hacer por la trágica muerte de John Lennon, asesinado en 1980 en Nueva York. La tecnología ha hecho posible que todavía se publiquen temas inéditos con la voz de Lennon y otros experimentos pero, claro, ya no es lo mismo.
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